26 septembre 2008

 

Tout ce qu'il ne faut pas faire : Merci Bégaudeau.

Excellent article du percutant Jean Paul Brighelli

"J’ai donc vu Entre les murs.

Allons tout de suite à l’essentiel. Quitte à surprendre quelques amis, c’est un film à voir absolument. Non qu’il soit bon – il est filmé à la diable, avec une caméra portée par un technicien ivre, qui donne le mal de mer au bout de dix minutes – pseudo-reportage sur une pseudo-classe, animée par un pseudo-enseignant. Mais il est indispensable :
Il est le degré zéro de la pédagogie - un zéro qui ne multiplie que parce qu’il est Palme d’or . Il est le répertoire exact de tout ce qu’il ne faut pas faire, à commencer par cette empathie vague qui tient lieu de pédagogie, et qui est le cœur même du pédagogisme
. Un enseignant débutant y trouvera tout ce que lui a enseigné le pire des IUFM, et qu’il lui faut oublier dès qu’il est confronté à des élèves réels, l’apologie de cette relation horizontale qui est une fin en soi depuis que quelques imbéciles ont décrété que la verticalité de la transmission était définitivement à proscrire – comme les estrades qui la matérialisaient. Ce n’est pas même un film : c’est l’étalage de cette escroquerie qui tient lieu aujourd’hui de pédagogie chez les mauvais élèves de Freinet."

La suite est ici

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Comments:
Sacrée réflexion que celle-ci et merci de l'avoir mis ici bas pour que tout le monde puisse la lire.

Pour ma part, il se contredit une fois dû à une note. En effet, il annonce que l'&ducation ne doit pas être politisé et lui-même parle à la fin d'une éducation de gauche et de droite. a ce moment là, chaque enseignant devrait avoir les même façon de penser pour pouvoir avoir nue éducation de tel ou tel bord. Or chaque professeur enseigne avec ces propres conviction et je pense que la politique n'a pas grand chose à voir dans la conviction d'un enseignant le but étant pour lui que ces élève en plus de passer en classe supérieur puisse sortir de sa classe avec un quelque chose de plus dans la tête et c'està ce moment là et avec cette réflexion là qu'on arrivera à ce qu'il dit au milieu de sa réflexion : "La culture du Savoir à l'école" en gros c'est de cela qu'il parle et je pense pouvoir le suivre sur cette idée que l'élève-roi n'est plus à mettre en place.

Cependant, je nuancerait ma propre remarque sur l'élève-roi car je n'aime pas avoir des avis tranchés car ceci ne serait pas très crédible vu que tout est nuançable après tout. Alors nuançons surl e point d'une expérience simple qui montre qu'un élève qui est écouter est lui-même plus attentif à ce qu'on lui raconte et pour ce faire, il ne faut pas oublier totalement l'élève face à au Savoir lui même car chaque élève est différent et un élève qui a des soucis scolaire n'est pas forcément un élève raté mais c'est juste que ces soucis ne sont peut-être pas scolaire à la base et pour certains cela est le cas pas pour tous c'est évidnet,i l ne faut pas faire de certains cas une généralité mais en tout cas ma phrase n'est pas erronée en soi. Alors après comment gérer cela ou plutôt à qui de gérer les problème externe qu'on apperçois seulement au sein de l'éducation? Pas facile de répondre et je n'est pas de réponse à cela, je l'avoue.

De plus, ce qui manque à certains professeur c'est un aspect non élitisme de la vie elle-même car en effet, un enfant qui ne réussit pas en 4ème et qui n'aura pas le bac n'est pas quelqu'un de perdu car des cycle court existe et ils sont hélas trop oublié face à la masse qui dit que sans le bac ont ne fait rien mais en fait, il existe moulte métier manuelle ou non qui n'exige pas le bac et dans lesquels ont se dirige à partir del a 3ème. Mais pour cela il faudrait qu'il y est un véritable accompagnemetn de l'élève à ce niveau là et qu'au sein d'une classe un prof qui voit un élève en difficulté ne lui mette pas forcément une appréciation du style "Qu'est-ce que vous faites là?" (hélas ce n'est pas une légende urbaine je l'ai lu et heureusement que ce n'était pas sur l'une de mes copies car je n'aurai sans doute pas garder ma langue dans ma poche pour demander à ce prof ce qu'il faisait là lui-même je pense).Car un élève qui ne réussit pas ne 4ème peut très bien être orienté vers un cylce court sans pour autant que cela soit mis dans un contexte dégradant car c'est de l'avenir d'un homme ou d'une femme qu'on parle et n'ont d'un nom sur une copie à corriger.

Pour moi si on veut redonner du sens au SAvoir en lui même et donc relever le niveau des études française, il faut d'abord revaloriser les cycles courts pour éviter que ceux-ci soit dénigré et quel es enfants finisse au bout du compte pas s'auto-exclure de la société car celle-ci ne vois que par le bac et les études supérieures. Ne pas mettre l'élève au centre de la classe ne signifie pas que celui-ci devienne une numéro sur une table non plus.

La dureté de la vie est de pouvoir trouver cette fine ligne qu'on retrouve entre le Ying et le Yang et qui serait l'équilibre parfait pour que l'éducation reprenne sont sens premier qu iest de transmettre le Savoir dans toute sa splendeur pour qu'un ou une élève puisse être paré pour Vivre.

Et vous qu'en pensez-vous ?
 
JPG y va un peu "au bazooka" car c'est son style , mais si vous lisez bien,il dit aussi que
"l’école véritable est faite de glissements imperceptibles, de patience, de remords parfois – ce que l’on appelle ordinairement le travail."
Il n'y a pas un prof,digne de ce nom,qui soit indifférent à la psychologie de l'élève et personnellement,je n'en ai pas rencontré au cours de ma carrière.
 
Lire JPB et non pas JPG
 
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