12 mars 2009
Solitude mathématique .
Heureux qui communique et sa passion partage.
Infinie solitude du post-professeur .
Rares,mais précieux les commentaires flotteurs .
Sans eux,c'est probable,viendra le déblogage .
Infinie solitude du post-professeur .
Rares,mais précieux les commentaires flotteurs .
Sans eux,c'est probable,viendra le déblogage .
L' image fait partie de l’exposition IMAGINARY organisée par l’institut Mathematisches Forschungsinstitut Oberwolfach
Libellés : Images mathématiques
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On parle souvent de la solitude du chercheur face à ces recherches mais en fait, on pourrait parler de la solitude du scientifique face au monde.
C'est une généralisation qui est bien sure obsolète car il est rare d'être réellement seul dans un monde scientifique de part le fait qu'il y ait d'autre scientifique qui peuvent les comprendre et donc communiquer avec eux pour comprendre leurs travaux.
Mais d'une façon assez général tout de même, les gens qui font des mathématiques sont souvent considéré par la population elle-même comme "bizarre". Soit il s'agit d'admiration soit il s'agit de rejet mais l'un comme l'autre n'entraîne pas forcément l'envie de comprendre ou d'apprendre à comprendre autrui qui pratique les mathématiques car ils sont considérés dans un monde à part. Et ceci ne se retrouve pas que en mathématiques car la Nasa même si il y a de l'admiration pour leurs travaux, les personnes y travaillons sont considérés par la population comme des hommes et des femmes "hors norme" et rien que le fait de dire cela les met à part du système. Je ne parle pas des personne travaillant dans le quantique c'est encore pire car tout le monde ne sait pas ce que représente exactement le mot "quantique" en science.
Donc à partir du moment où on s'avère doué en sciences de la nature ou en sciences mathématiques, il n'est pas rare qu'il y est une certaine solitude face à la société même si dès que le travail s'arrête ces personnes ne sont pas plus en dehors de celle-ci car elle forme un maillon dans la société. Mais il y a toujours cette aspect assez illogique de considéré les gens qu'on ne comprend pas ou dont le travail n'est pas compréhensible par la grande majorité comme des gens hors système.
Donc la "solitude" du scientifique peut donc être regardé par rapport à la société elle-même par la simple question "Mais que font-ils exactement?" ou "A quoi cela sert-il?"
C'est par ces simples questions qu'on peut constater qu'il ne faudra jamais abandonner l'idée de conférence scientifique et de vulgarisation scientifique pour éviter le plus possible que le scientifique ne soit considéré comme une bête de laboratoire incompréhensible. C'est cette barrière qu'il faudra amenuiser autant que faire se peut et ainsi la solitude du scientifique ne serait plus.
Cordialement,
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C'est une généralisation qui est bien sure obsolète car il est rare d'être réellement seul dans un monde scientifique de part le fait qu'il y ait d'autre scientifique qui peuvent les comprendre et donc communiquer avec eux pour comprendre leurs travaux.
Mais d'une façon assez général tout de même, les gens qui font des mathématiques sont souvent considéré par la population elle-même comme "bizarre". Soit il s'agit d'admiration soit il s'agit de rejet mais l'un comme l'autre n'entraîne pas forcément l'envie de comprendre ou d'apprendre à comprendre autrui qui pratique les mathématiques car ils sont considérés dans un monde à part. Et ceci ne se retrouve pas que en mathématiques car la Nasa même si il y a de l'admiration pour leurs travaux, les personnes y travaillons sont considérés par la population comme des hommes et des femmes "hors norme" et rien que le fait de dire cela les met à part du système. Je ne parle pas des personne travaillant dans le quantique c'est encore pire car tout le monde ne sait pas ce que représente exactement le mot "quantique" en science.
Donc à partir du moment où on s'avère doué en sciences de la nature ou en sciences mathématiques, il n'est pas rare qu'il y est une certaine solitude face à la société même si dès que le travail s'arrête ces personnes ne sont pas plus en dehors de celle-ci car elle forme un maillon dans la société. Mais il y a toujours cette aspect assez illogique de considéré les gens qu'on ne comprend pas ou dont le travail n'est pas compréhensible par la grande majorité comme des gens hors système.
Donc la "solitude" du scientifique peut donc être regardé par rapport à la société elle-même par la simple question "Mais que font-ils exactement?" ou "A quoi cela sert-il?"
C'est par ces simples questions qu'on peut constater qu'il ne faudra jamais abandonner l'idée de conférence scientifique et de vulgarisation scientifique pour éviter le plus possible que le scientifique ne soit considéré comme une bête de laboratoire incompréhensible. C'est cette barrière qu'il faudra amenuiser autant que faire se peut et ainsi la solitude du scientifique ne serait plus.
Cordialement,
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