02 avril 2009
Le sacrifice de la géométrie sur l'autel numérique.
L'homme est-t-il aujourd'hui un "homo sapiens absolutis"
ou un "homo numericus relativis" ?
Quand le projet de nouveaux programmes fait naître des débats philosophiques:
ICI
ET Là AUSSI
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Libellés : Infos et actualités, Récréation
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Bonsoir,
Voilà du pain béni pour se remettre à réfléchir c'est indéniable et après tout c'est peut-être une bonne chose car la question est vraiment de fond. Après je serai plus pour un équilibre entre les deux proposition d'homo sapiens mais bon l'équilibre n'est pas simple à trouver et peu veulent vraiment le trouver, je pense.
Par contre j'admire la rhétorique de certain protagoniste qui n'hésite pas à aller au fond des choses même si ils savent sans doute d'avance que peu les liront car nous sommes plus dans un monde de rapidité et donc les long message sont moins lu que les petit message chocs qui ne porte en eux une réflexion peut-être implicite mais à ce moment là, il est dommage qu'elle ne s'explicite pas car toute chose simple à voir est simple à expliquer, c'est un professeur de mathématiques qui le revendique: "Si c'est trivial pourquoi ne pas mettre une simple phrase pour expliciter que cela l'est et ainsi enlever toute ambiguïté".
Enfin,, je pense que la philosophie n'est pas très loin des mathématiques car même si pour ma part je ne considère par la philosophie comme une science, je la considère plus comme la mère de toutes celles-ci. Et vu que les mathématiques ont vocation à réfléchir très souvent sur les vérités soient disant fondée mais non expliqué, elle se rapproche indéniablement de la philosophie qui a aussi cette envie d'unifier les choses vers une vérité la plus globale possible et la plus compréhensible de tous.
D'autre point comment se retrouve dans la construction d'une argumentation car les mathématique s'appuient aussi sur des argumentation précise pour démontrer ses théorèmes. Mais on retrouve aussi la notion de postulat car même si la philosophie se remet en cause souvent sur des thème diverse et varier, les mathématiques aussi font de même avec ses postulats et c'est ainsi d'ailleurs que la géométrie euclidienne n'est plus l'unique géométrie mathématiques (pour prendre l'exemple le plus connu).
La philosophie est présente dans beaucoup de chose et même si on ne fait pas appel aux auteurs pour justifier certaines argumentation cela n'en reste pas moins de l a philosophie dans le sens réflexif. Tout comme Molière le fait dire à de ses personnage connu qu'il fait de la prose sans le savoir et que faire de la prose. Et bien bon nombre de personne ne savent pas qu'ils font des maths et pourtant en font tous les jours malgré eux ou en conscience et c'est de même pour la philosophie.
Donc c'est étonnant que des réflexion émerge mais ceci est salutaire car cela tend à montrer que nous sommes encore capable à notre époque de ses remettre en question et de réfléchir au coeurs des problèmes sans pour autant se taper dessus ou imposer ses idées. Un brin d'équilibre ne ferait aucun mal à tout ceci et ce nouveau programme pourrait passer si on lui offre une formation alternative pour celle et ceux qui souhaite continuer dans les sciences plus tard et ainsi on règle le problème. A croire en fait que la réforme du lycée aurait été plus salutaire pour les maths que ce nouveau programme, à croire seulement je n'ira pas jusqu'à dire que cela aurait été le cas car comment savoir avant à moins d'être voyant et d'y croire, donc ;).
Cordialement,
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Voilà du pain béni pour se remettre à réfléchir c'est indéniable et après tout c'est peut-être une bonne chose car la question est vraiment de fond. Après je serai plus pour un équilibre entre les deux proposition d'homo sapiens mais bon l'équilibre n'est pas simple à trouver et peu veulent vraiment le trouver, je pense.
Par contre j'admire la rhétorique de certain protagoniste qui n'hésite pas à aller au fond des choses même si ils savent sans doute d'avance que peu les liront car nous sommes plus dans un monde de rapidité et donc les long message sont moins lu que les petit message chocs qui ne porte en eux une réflexion peut-être implicite mais à ce moment là, il est dommage qu'elle ne s'explicite pas car toute chose simple à voir est simple à expliquer, c'est un professeur de mathématiques qui le revendique: "Si c'est trivial pourquoi ne pas mettre une simple phrase pour expliciter que cela l'est et ainsi enlever toute ambiguïté".
Enfin,, je pense que la philosophie n'est pas très loin des mathématiques car même si pour ma part je ne considère par la philosophie comme une science, je la considère plus comme la mère de toutes celles-ci. Et vu que les mathématiques ont vocation à réfléchir très souvent sur les vérités soient disant fondée mais non expliqué, elle se rapproche indéniablement de la philosophie qui a aussi cette envie d'unifier les choses vers une vérité la plus globale possible et la plus compréhensible de tous.
D'autre point comment se retrouve dans la construction d'une argumentation car les mathématique s'appuient aussi sur des argumentation précise pour démontrer ses théorèmes. Mais on retrouve aussi la notion de postulat car même si la philosophie se remet en cause souvent sur des thème diverse et varier, les mathématiques aussi font de même avec ses postulats et c'est ainsi d'ailleurs que la géométrie euclidienne n'est plus l'unique géométrie mathématiques (pour prendre l'exemple le plus connu).
La philosophie est présente dans beaucoup de chose et même si on ne fait pas appel aux auteurs pour justifier certaines argumentation cela n'en reste pas moins de l a philosophie dans le sens réflexif. Tout comme Molière le fait dire à de ses personnage connu qu'il fait de la prose sans le savoir et que faire de la prose. Et bien bon nombre de personne ne savent pas qu'ils font des maths et pourtant en font tous les jours malgré eux ou en conscience et c'est de même pour la philosophie.
Donc c'est étonnant que des réflexion émerge mais ceci est salutaire car cela tend à montrer que nous sommes encore capable à notre époque de ses remettre en question et de réfléchir au coeurs des problèmes sans pour autant se taper dessus ou imposer ses idées. Un brin d'équilibre ne ferait aucun mal à tout ceci et ce nouveau programme pourrait passer si on lui offre une formation alternative pour celle et ceux qui souhaite continuer dans les sciences plus tard et ainsi on règle le problème. A croire en fait que la réforme du lycée aurait été plus salutaire pour les maths que ce nouveau programme, à croire seulement je n'ira pas jusqu'à dire que cela aurait été le cas car comment savoir avant à moins d'être voyant et d'y croire, donc ;).
Cordialement,
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