02 mars 2010
" Dieu n'existe pas et Dirac est son prophète ." (Heisenberg)
Jacques Vauthier, professeur à l'Université Pierre et Marie Curie (Paris VI), auteur de plusieurs ouvrages, aborde dans cette interview les implications philosophiques des mathématiques, le théorème de Gödel, mais aussi l'apport des mathématiques au dialogue entre les civilisations.
Libellés : Conférence, Histoire des mathématiques
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Très intéressant, malgré quelques raccourcis un peu simplificateurs, notamment lorsqu'il étend à la physique le théorème de Gödel, qui ne concerne QUE l'arithmétique, même pas toutes les mathématiques...
Mais surtout à la fin, lorsqu'il introduit subitement la "finalité" comme pendant de la "causalité" en affirmant qu'on est obligé d'admettre les deux, car la finalité serait indispensable à la cohérence de la science. Pas convainquant.
La nécessité de la causalité passe encore, bien qu'on attende toujours une métaphysique compatible avec l'intrication quantique. Pour la finalité, c'est le contraire, on attend toujours une expérience de physique montrant l'existence de ce concept philosophique ...
Mais surtout à la fin, lorsqu'il introduit subitement la "finalité" comme pendant de la "causalité" en affirmant qu'on est obligé d'admettre les deux, car la finalité serait indispensable à la cohérence de la science. Pas convainquant.
La nécessité de la causalité passe encore, bien qu'on attende toujours une métaphysique compatible avec l'intrication quantique. Pour la finalité, c'est le contraire, on attend toujours une expérience de physique montrant l'existence de ce concept philosophique ...
"S'il n'y a pas de finalité, il n'y a pas de cohérence et s'il n'y a pas de cohérence, il n'y a pas de science "
Effectivement , l'argument est un peu "court" :
Je suis d'accord avec vous .
Merci pour votre commentaire .
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Effectivement , l'argument est un peu "court" :
Je suis d'accord avec vous .
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